I.A., statistiques et probabilités, preuve par le «consensus scientifique» et autres foutaises
Nous allons certainement choquer, être une fois de plus l’objet de sarcasmes, voire d’insultes, mais nous osons ici affirmer avec force que l’«intelligence artificielle» çà n’existe pas ! Pire nous entendons vous montrer pourquoi il s’agit d’une énorme escroquerie intellectuelle.
Comment fonctionne cette prétendue I.A. ?
Ne vous y trompez pas, il n’y a derrière ce concept aucune percée technologique géniale qui conférerait à une machine une quelconque intelligence comparable – voire supérieure – à celle d’un être humain normalement constitué. La machine ne peut en réalité que vous donner des réponses conformes à ce que l’opérateur humain qui la programme a renseigné et selon le modus operandi de son programme, lequel est, lui aussi, le produit du travail d’êtres humains ! Alors, me direz-vous, comment fonctionne le prétendument génial «ChatGPT» ? Et bien il profite d’une part de la capacité des systèmes informatiques à rechercher très rapidement dans une base de données les informations pertinentes en stock dans sa mémoire et, d’autre part, il utilise des algorithmes qui se fondent sur des statistiques obtenues par la compilation de réponses obtenues auprès d’une masse importantes de personnes payées une misère. Cela n’est en rien comparable au fonctionnement d’une intelligence humaine, voire à celle des animaux supérieurs. Cette dernière repose ne effet sur la capacité de raisonner selon un mode analogique par rapport à des situations inconnues qui admet autre chose que le système strictement binaire (oui ou non, le courant passe ou ne passe pas) des machines informatiques.
Ainsi, «ChatGPT» ne nous étonne et nous stupéfie qu’à la manière d’un prestidigitateur de talent, simplement par le biais de sa vitesse, seul point ou la machine est vraiment supérieure au fonctionnement de l’intelligence humaine ! D’ailleurs, il suffit pour s’en apercevoir de lui poser une question qui le force à ne pas rester dans ce qui est considéré par ses concepteurs comme «politiquement correcte»…
Il montre ainsi que derrière la machine se retrouvent les êtres humains et leurs préjugés, leurs opinions, fondées ou non sur les faits et non une prétendue intelligence artificielle supérieure à celle de notre espèce et dénuée des «imperfections» qu’inspirent nos émotions.
Statistiques, probabilités et algorithmes, les fondements infiniment faillibles de la prétendue I.A.
Winston Churchill disait qu’il ne croyait dans les statistiques que celles qu’il avait lui-même truquées… Cette boutade n’est pas loin de la vérité, même si elle est une caricature, or, une caricature n’est réussie que si l’effet en est d’accentuer des traits existants.
Il est si facile en effet de truquer, volontairement ou non, une statistique… Un mauvais choix de l’«échantillon représentatif», un refus ou un oubli de tenir compte d’une variable significative, une comparaison foireuse qui ne répond pas au «toutes choses égale par ailleurs» que la science, le vraie, exige pour en valider la pertinence… Il n’est que de voir la fiabilité plus qu’aléatoire des sondages et la facilité avec laquelle on peut influer sur leurs résultats simplement par une formulation orientée des réponses proposées.
Par ailleurs, la notion même de probabilités, malgré le caractère non équivoque de leur nom (probable n’est pas synonyme de certain, au contraire…) est mal comprise (là encore volontairement ou non). Ainsi, le fait qu’on obtienne par le calcul mathématique une probabilité de survenance d’un évènement disons de 90 % n’indique aucune certitude absolue que le dit évènement se produira… Il reste parfaitement possible que ce soit les 10 % restants qui se vérifient dans les faits ! Et là comme dans le domaine de la statistique, un calcul de probabilité ne donne une idée juste des possibilité de survenance d’un évènement que si les faits qui le fondent ont été objectivement tous pris en compte de manière correcte.
Les algorithmes de l’I.A. étant basés sur les statistiques et les probabilités ont voit combien leur prétendue infaillibilité et supériorité sur l’intelligence humaine sont contestables et sujets à caution.
Peut-être conviendrait-il de se rappeler qu’en science, le critère de vérité d’une théorie est l’expérience (dans toute la rigueur des conditions depuis longtemps connues pour la valider) et non une opération mathématique !
Le «consensus scientifique» n’est pas une preuve !
Ah, la prétendue toute puissance de la statistique (dont nous venons de démontrer quelques lignes plus haut la fausseté). Et pourtant ce «consensus scientifique» est l’un des arguments phares des «dé-bunkers» autres «fact checkers» – «zététiciens» ou non ! En effet, si on peut légitimement considérer qu’une hypothèse soutenue par la majorité des scientifiques dans un domaine qui est le leur a plus de probabilités d’être vérifiée dans les faits, cela ne signifie pas pour autant qu’elle se vérifie expérimentalement dans les faits. Cette hypothèse sans cette confirmation par l’expérience reste en effet une… hypothèse et non une réalité !
Les preuves abondent dans l’histoire de sciences que des découvertes importantes démontrées par l’expérience ont été réalisées outre et contre le «consensus scientifique» qui prévalait à leur époque… Il en fut ainsi de la circulation du sang, ou encore du mouvement des astres.
A fortiori, lorsque la science «officielle» (celle du consensus) est encadrée, bridée par des puissances politiques ou économiques et qu’elle néglige délibérément les faits contraires, la prétendue preuve par le «consensus scientifique» est d’autant plus nulle et non avenue.
Ainsi, ce n’est pas parce que le «consensus scientifique» veut nous imposer la doxa du réchauffement climatique catastrophique d’origine anthropique que le dit réchauffement (devenu depuis «perturbation climatique») et principalement causé par le CO2 par l’intermédiaire des rapports successifs du GIEC que cela fait de ce postulat une vérité scientifique incontestable. Il existe, en effet, de nombreux indices qui infirment expérimentalement ces affirmations en tout ou en partie. Pour commencer sachez que les prévisions catastrophiques des rapports successifs de cet organisme ne se sont jamais vérifiées dans les faits. Qui plus est, beaucoup de comparaisons à long terme fondées sur les relevés de température des stations météo située sur les continents sont invalides, l’environnement des dites stations s’étant modifié au fil du temps, notamment par l’apparition de sources de chaleur locales (urbanisation, industrialisation…). Invalides parce que ne répondant nullement au critère scientifique du «toutes choses égale par ailleurs». La mesure de température dans les océans par des satellites ne souffre pas de mêmes imperfections et ces résultats, si on en croît un ancien directeur de la NASA, sont à l’inverse des théories réchauffistes depuis… 1998 !
Viennent ensuite les constats sur l’histoire du climat sur notre planète. D’abord l’analyse des carottages des glaces de l’Antarctique qui conservent sous forme de bulles d’air emprisonnées les atmosphères des époques passées. On constate ce fait éminemment troublant qui veut que la montée des concentrations en CO2 suit et non précède les périodes de réchauffements climatiques. Preuve que cette montée de concentration n’est pas une cause mais une conséquence. De plus des variations climatiques bien plus importantes que celles que nous constatons aujourd’hui se sont produites dans le passé sans pour autant entraîner une quelconque apocalypse ! Assez récemment à l’échelle géologique, l’optimum médiéval a aussi montré que des variations climatique significatives de durée courte avaient existé… Notons d’ailleurs que cet optimum a vu l’agriculture se développer en Islande et au Groenland (ce nom vient d’ailleurs de «terre verte») indiquant des températures supérieures à celles que connaissent ces régions aujourd’hui, le tout bien évidemment sans que cela entraîne une destruction de la vie sur terre. Et nous dressons ici une liste non exhaustive des faits qui indiquent clairement que :
- Le réchauffement du climat n’est pas démontré comme un phénomène durable et catastrophique
- Que son caractère anthropique ne l’est absolument pas et qu’il est douteux qu’il le soit compte tenu des précédents historiques (certains largement antérieurs à l’apparition de l’espèce humaine) tant du point de vue de l’amplitude des modifications que de leur vitesse de variation.
- Que les prévisions du GIEC – qui ne se sont jamais vérifiées jusqu’à aujourd’hui – sont des manipulations de l’opinion publique pour justifier des mesures d’austérité qui profitent en réalité aux «1%» qui tiennent désormais économiquement la quasi-totalité de la recherche scientifique sous leur coupe.
- Qu’une conséquence ne pouvant être une cause, les émissions de CO2 ne sont pour rien dans un réchauffement climatique, dans l’hypothèse où ce dernier serait effectif.
- Que la science «officielle» sous contrôle économique total du capital financier confond volontairement hypothèses et faits démontrés expérimentalement et n’hésite pas à écarter tout fait infirmant les hypothèses servant les intérêts de ses maîtres et à présenter sous couleurs d’avancées technologiques d’envergure des manipulations s’apparentant de très près à du marketing politique qui plus est souvent contraire à la moindre éthique scientifique et à présenter comme «complotistes» ceux qui les dénoncent – preuves à l’appui – comme telles.
Abus de l’outil mathématique
Les mathématiques sont depuis longtemps abusivement décrites comme une matière à part entière… Ce qu’elles ne sont pas ! Elles sont en effet incapables à elles seules de démonstrations concrètes dans le réel. Elles se fondent sur des postulats comme par exemple dans le cas de la géométrie euclidienne qui postule que les parallèles ne se rencontrent jamais (en géométrie sphérique ce postulat est considéré comme faux) et si dans le cadre du postulat de base elle développe ensuite un raisonnement implacable de logique formelle, il suffit que le postulat sur lequel elle s’appuient ne corresponde pas à la réalité matérielle constatée expérimentalement pour que cette belle construction intellectuelle tombe dans la catégorie de la… masturbation intellectuelle !
Entendons-nous bien, les mathématiques sont un indispensable et formidable outil de quantification en matière scientifique et une aide extrêmement utile à la construction d’hypothèses, mais elles ne démontrent rien si les raisonnements et calculs qu’elles utilisent ne se fondent sur des constats expérimentaux et ne se voient confirmés eux-mêmes par l’expérimentation.
La confusion entre la notion d’hypothèse et celle de fait établi, le refus de ne considérer comme exact que ce qui est expérimentalement établi impacte aujourd’hui considérablement la science dans son ensemble et est en grande partie le résultat d’une sélection dans les filières scientifiques fondée essentiellement sur les capacités des individus en mathématiques et un manque de considération pour la valeur déterminante de l’expérimentation dans l’établissement de la vérité scientifique. Cela se ressent aujourd’hui jusque dans les sciences exactes et cela a un impact négatif déterminant dans les sciences expérimentales.
Un constat matériel vient appuyer notre affirmation de la nuisance que constitue l’abus de l’outil mathématique dans l’avancement des connaissances humaines : après une longue période d’accélération sans précédent de la fréquence des découvertes majeures qui se termine dans les années 70, nous connaissons un fort ralentissement depuis où dans le meilleure des cas l’innovation, lorsqu’elle est réelle et non le fruit du marketing, s’appuie sur les seuls acquis scientifiques des périodes antérieures et parfois nettement antérieures (ex : le WiFi qui est une simple application des ondes radio découvertes par Marconi il y a plus d’un siècle !). Or, la date de ce phénomène de ralentissement correspond peu ou prou à l’adoption de l’hyper mathématisation des études scientifiques, mode venue des États-Unis qui s’étendit à toute l’Europe occidentale.
L’impact de cette mode sur les sciences exactes se concentre essentiellement sur la confusion entre hypothèse (plus ou moins tenue pour la plus probable par le fameux – et fumeux – «consensus scientifique») et réalité vérifiée expérimentalement… Il en est ainsi de la théorie quantique en physique qui ne s’appuie que sur un empilement d’équations et n’est vérifié par aucun processus expérimental, au contraire de la mécanique d’Einstein (on attend encore le célèbre ordinateur quantique, annoncé depuis bien une vingtaine d’années et dont personne n’a jamais vu la couleur et qui semble bien plus relever de la fable marketing que de la science).
Sur les sciences expérimentales – en particulier la médecine – c’est une double catastrophe, ces sciences, comme leur nom l’indique, se fondant essentiellement sur des constats expérimentaux, font de nos jours bien trop confiance aux prétendus résultats des statistiques et des probabilités sans prendre soin de constater les résultats in-vivo ! En médecine, où pour des raisons éthiques auxquelles il serait inadmissible de passer outre, une bonne part des connaissances restent acquises de manière empirique, la sélection des individus sur la base de leur capacité dans l’usage des mathématiques pour faciliter la sélection au détriment de leur qualité d’observateur méticuleux et de l’expérience au contact des malades a abouti (outre les effets pervers du numerus clausus en France qui, on le voit aujourd’hui est la principale cause du manque de médecins) à une baisse de qualité des praticien dont le profil initial ne correspond nullement aux qualités tant d’observation qu’humaines qu’on attend d’un bon médecin.
Ce refus de la valeur absolue des résultats expérimentaux sur la pure théorie ou l’hypothèse, a des conséquences qui dépassent d’ailleurs les sciences pour affecter la société dans son ensemble, comme nous l’allons voir…
«Sciences» sociales, le triomphe du n’importe quoi !
Les guillemets appliqués à sciences sont parfaitement intentionnels. En effet, bien avant que les dérapages exposés ci-dessus se produisent, les disciplines regroupées sous le vocable de «sciences humaines» s’écartaient considérablement de la rigueur des sciences exactes et – faute de pouvoir utiliser des protocoles expérimentaux aussi rigoureux qu’en sciences expérimentales – d’obtenir des connaissances via des résultats parfaitement contrôlables (même si dans certains cas les découvertes sont empiriques). Elles se fondent en général sur des approximations et des constats partiels sur lesquels se bâtissent des théories et des généralités mal étayées. Faut-il de ce fait continuer à appeler «sciences» ces disciplines ? C’était déjà contestable à cette époque. Au moins, dans la plupart des cas, existait une volonté sincère d’approcher la réalité via des observations factuelles.
Avec la relégation des preuves expérimentales dans les «vraies» sciences au dernier rang face à l’hyper-mathématisation et la confusion entre hypothèse et vérité scientifique établie, les praticiens de ces prétendues sciences que sont la psychologie, la sociologie, l’ethnologie, les sciences politiques et même l’Histoire se sont crus autorisés à confondre avec la réalité des construction purement subjectives et à les considérer comme des vérités en négligeant totalement toute forme de constat matériel, surtout lorsque ce dernier aurait le malheur de les contredire, voire en dépit de toute logique.
C’est ainsi que le wokisme a pu répandre avec succès ces dernières années ses absurdités dans les milieux universitaires…
Mais il y a plus grave encore. Dans notre beau pays de France, la psychologie, et en particulier sa branche clinique, se voit mise au même rang que la psychiatrie – discipline médicale qui pour être encore largement empirique n’en est pas moins pratiquée par des médecins ayant derrière eux dix ans d’études et une sérieuse base de science expérimentale acquise avant leur spécialisation (même si, là comme ailleurs, il y a des bons et… des moins bons). Dès lors, on confie même à des psychologues des tâches d’expertise auprès des tribunaux qui étaient autrefois réservées aux seuls psychiatres experts auprès de ces derniers, qui, comme à peu près tous leurs collègues, se complaisent dans des extrapolations sans preuve matérielle tellement détachées des faits que si les conséquences n’en étaient pas si graves, elles seraient risibles !
D’ailleurs, lorsque plusieurs intervenants de ce genre s’occupent séparément d’une même affaire, il est fréquent qu’ils se contredisent allégrement ; ce qui prouve amplement (et matériellement) le caractère fumeux et imprécis des fondements de leurs conclusions. Le psychiatrie elle-même n’est pas épargnée par cette dérive car par rapport à la plupart des autres disciplines médicales, l’empirisme total et la difficulté de mettre en place des protocoles expérimentaux stricts y règnent plus qu’ailleurs.
En France s’y ajoute le fait que l’escroquerie freudienne appelée psychanalyse y est encore enseignée et reconnue officiellement !
Enfin, dans tout le monde occidentale et hors de toute logique, sous l’influence de groupes de pression ont a fait – ces dernières années - «sauter» des diagnostics autorisés en tant que pathologie l’homosexualité et la bisexualité et qu’on parle si cela n’est déjà fait d’exclure aussi la dysphorie de genre ! Quant on pense que le moindre écart avec les écarts types standard dans une analyse de sang est considéré comme un signe pathologique, considérer que l’attirance sexuelle envers des individus de son propre sexe en opposition à cet élément irréfutable et matériel qu’est l’anatomie ou encore qu’un mal être aigu vis à vis là encore de son sexe anatomique n’est pas un signe pathologique relève d’un manque total de logique et (ou) d’une parfaite mauvaise foi !
La sociologie est une vaste fumisterie, car le nombre de variables qu’il faudrait prendre en compte pour pouvoir seulement tenter de définir des règles comportementales générales à l’espèce humaine en tant qu’objet social est astronomique. Tout au plus le sociologue honnête (s’il en reste ?) devrait se contenter d’observer et de rendre compte des comportements observés dans le milieu qu’il étudie et de ses éventuelles variation dans le temps en en indiquant toujours les coordonnées sociales, géographiques et temporelles, sans chercher à en tirer des lois immuables. Les «sciences politiques» ne sont d’ailleurs qu’un dérivé pervers de la sociologie y mêlant des notions historiques (de nos jours fort biaisées) et les acquis de la manipulation de masse, hélas vraie science purement expérimentale mais qui, elle, ne fait pas fi de l’expérience !).
L’ethnologie – dont le but premier était, ne nous le cachons pas, l’étude des sociétés en décalage avec la marche du monde dans son ensemble, afin de mieux connaître ces sociétés «fossiles» pour mieux comprendre les étapes de la marche des sociétés humaines à travers le temps – est devenue par la peur qu’ont ressenti les ethnologues de perdre leurs surjets favoris d’étude un repaire inconscient de partisans de la création de réserves humaines (au sens des «réservations» qui ont été et restent pour la plupart le modèle de destruction des individus «gênants» que représentent aux USA les reliquats des tribus amérindiennes). Une attitude humainement inadmissible car membres à part entière de l’espèce humaine qui est une, des Papous de Nouvelle-Guinée aux Aborigènes d’Australie en passant par les indiens d’Amazonie, tous ces êtres humains ont le droit à l’accès à l’ensemble des connaissances humaines et aux acquis de la science et des technologies les plus avancées… Et tant pis pour le prétendu «ethnocide» que cela risque d’entraîner car en fait d’«ethnocide», il s’agit en réalité ici de permettre à nos frères humains de rattraper le retard civilisationnel que leur isolement à entraîné (ce qui n’exclut pas pour eux de partager en retour des savoirs qui leur sont propres ou oubliés ailleurs ou une «photographie» soigneuse de l’état de leur société).
Le cas de l’Histoire et surtout sa manipulation actuelle est la cerise sur la gâteau… Comment prétendre à une quelconque valeur scientifique une discipline qui ne s’appuie plus sur les faits à travers les archives et (ou) les constats archéologiques ? Une discipline qui est enseignée de manière à ne plus respecter la chronologie – c’est-à-dire l’enchaînement des évènements et donc les relation de causes à effets entre eux ? Une discipline qui s’interdit ou à laquelle on interdit de contester une prétendue «vérité historique» établie par… des institutions politiques même lorsque cette contestation s’appuie sur des faits démontrés de manière irréfutables (il ne s’agit, bien sûr, pas ici de cautionner un négationnisme étayé par des mensonges) ? En réalité – et avec les compliments de Dame Éducation nationale – il s’agit d’une vaste opération d’intox politique !
En guise de conclusion
Il est urgent pour notre intérêt comme pour l’avenir de l’humanité de revenir à la preuve expérimentale et à une recherche indépendante des pressions économiques et politiques et, pour le plus grand nombre d’entre-nous, il est tout aussi urgent de revenir tout simplement au bon sens étayé par les expériences du quotidien.