Les «heures le plus sombre de notre histoire» ne sont plus ce qu’elles étaient !
Ils furent légions à avoir rappeler les «heures les plus sombres de notre histoire(™)» lorsque à l’heure du Covid nous avions refusé le vaccin. Ils continuent de répéter la même antienne lorsqu’un député évoque la notion de politique migratoire. Ils récidivent, lorsqu’une ancienne ministre ose affirmer que les ukrainiens bombardent depuis 2014 les populations russes du Donbass, vidant ainsi irrémédiablement par la répétition cette formule de son sens…
Tandis que nos journalistes, nos militants centristes ou les idiots utiles gauchistes utilisent à tire-larigot l’argumentation ad hitlerum. notre si douce et si magnanime «élite» euro-atlantiste vote NON à la résolution de l’ONU condamnant la renaissance du nazisme…
Auparavant ils se contentaient d’être prudes, préférant l’abstention, laissant l’Ukraine et les États-Unis seuls voter contre. Depuis la guerre en Ukraine, les masques tombent, 52 pays votent contre, dont la France et 15 s’abstiennent.
Que l’Allemagne soit sortie de sa repentance antinazie après 70 ans devrait déjà attirer notre attention. Mais que notre élite «nationale» suive est encore plus révoltant.
Nous en connaissons tous la raison profonde : ils assument tout ce qui se passe en Ukraine, une Ukraine indéniablement nazie. Que cet Occident, fervent soutien de l’Ukraine, refuse soudainement tout combat contre le nazisme après le déclenchement de la guerre le démontre encore plus.
Ainsi, il nous faut maintenant constater que dans notre pays être «nazi» c’est refuser la fuite en avant pseudo-progressiste et post moderne de la bourgeoisie alors que les pays où flotte la croix gammée sont des alliés.