Questions Fréquentes

On prétend que vous êtes « rouges-bruns » que répondez-vous ?



D’abord ce qualificatif est en lui-même une pure invention. On ne peut être à la fois fasciste et communiste.

Ensuite, au Cercle Duclos, nous ne tolérons en aucun cas le racisme, le suprématisme et nous luttons contre le capitalisme et pour le socialisme alors que la fascisme est le dernier recours du capital pour maintenir sa domination (Dimitrov). Mais nous pensons que c’est vers les abstentionistes et même ceux qui se sont laissés égarer vers l’extrême droite qu’il faut agir pour les convaincre de rejoindre la lutte pour le socialisme et non vers des gauchistes qui – outre le fait que depuis 1968 ont été les facteurs majeurs de la destruction des forces réellement progressistes dont le PCF – confondent internationalisme (en oubliant l’adjectif prolétarien) et mondialisme capitaliste et accusent tous les défenseur de la souveraineté nationale d’être des fascistes, des « rouges-bruns ».

Gauchistes qui mettent en avant les prétendues « avancées sociétales » et élaborent des théories fumeuses (comme la théorie du genre, le « féminardisme » ou le racialisme) que la majorité de la population (et en particulier dans les rangs de la classe ouvrière) vomit et provoquent le rejet de tout ce qui se revendique du progressisme par assimilation abusive, se transformant ainsi dans le meilleur des cas en agent du désespoir et de l’abstention et dans le pire en pourvoyeurs de l’extrême droite.

Pour nous, le combat contre le gauchisme est l’une des armes les plus efficaces et les plus nécessaires pour enrayer la montée du fascisme.


On vous critique parce que vous seriez antirépublicain et acceptez parmi vous des royalistes… Que répondez-vous à ça ?



Au sens marxiste des choses, royauté ou république sont des superstructures…

Existe-t-il un lien mécanique  entre la dite superstructure et la nature de la société ? Notre réponse sur ce plan est négative. Et nous pouvons le prouver, en effet si ce lien mécanique existait, la royauté n’existerait que dans le cadre d’une société féodale, or ne serait-ce qu’en Europe occidentale, l’existence de superstructures royales dans des pays passés depuis longtemps au stade capitaliste est extrêmement répandue.

Qu’est-ce qui pourrait empêcher une superstructure royale de cohabiter avec le socialisme ?

Qu’au XIXème siècle ou même plus tard, avec le tsarisme prônant l’« autocratie » et des princes et rois complices du capital ou qu’en Espagne avec la collusion entre monarchie espagnole et franquisme il y ait une véritable incompatibilité entre socialisme et royauté se conçoit fort bien, mais en ce qui concerne notre pays, donner le choix au peuple entre une République socialiste ou une Royauté socialiste ou le roi n’aurait comme seul pouvoir d’en appeler au réferendum s’il estime que la représentation nationale porte atteinte à la souveraineté nationale ou à l’intégrité du territoire semble logique après des années de « monarchie républicaine » caractérisées par une constante aggravation du pouvoir personnel du président-monarque ayant abouti à une dégradation de l’image de la République comme de la démocratie.

D’ailleurs il serait juste de parler de royauté et non de monarchie… Car il est dans cette hypothèse bien sûr hors de question qu’une telle superstructure se caractérise par le « pouvoir d’un seul » !

Vous auriez volé le nom de domaine Centre Maïakovski ?


Lorsque nous étions membre du Discord correspondant, nous étions de loin les plus actifs, de la même manière que la majorité au Congrès de Tours a voté pour l’adhésion à la IIIème Internationale, nous pensons avoir des droits sur le site qui accompagnait le Discord.

De plus, alors que l’un de nous assurait le côté technique du site, nous avions proposés à ceux qui restaient sur le Discord d’origine de leur retransmettre les droits afférant à la seule condition expresse qu’ils s’abstiennent d’actes hostiles à notre égard. Des arrangements avaient même été décidés sur ce point…

Des personnes du Centre Maïakovski ont cru bon de nous attaquer bassement avant même que le rendez-vous Internet fixé ait pu avoir lieu.

Dans ces conditions et au vu du refus des responsables du Centre Maïakovski de les désavouer et encore moins de les sanctionner, nous avons décidé de conserver les droits en notre possession, tout en nous abstenant d’ailleurs de nous servir du site en question, resté en l'état jusqu'à un éventuel débat puisse avoir lieu de façon adulte et responsable.

Nous n’avons donc rien volé, et le non respect des accords pris n’est pas de notre fait.