Monsieur le président, nous aussi on va vous emmerder
Article de C. Garcia
« J’ai très envie de les emmerder, on va continuer à le faire , à partir du 15 Janvier, vous ne pourrez plus aller au restau, […] vous ne pourrez plus aller au café, vous ne pourrez plus aller au théâtre »
E.Macron, 4 janvier 2022 à propos des non-vaccinés.
Monsieur le président, dans le journal de votre ami Bernard Arnault vous teniez les propos ci-dessus. Vous voulez donc nous emmerder ? Fort bien.
Vous déclariez également que nous n’étions pas des citoyens. OK. Que sommes-nous ? Des sous-êtres ? Des pestiférés ? Pourquoi ? ...
Parce que nous ne nous sommes pas fait injecter pour une raison ou pour une autre la précieuse substance contenue dans les seringues de vos maîtres de chez Pfizer et autres groupes pharmaceutiques dont vous êtes à la botte?
Parce que certains d’entre nous ne jouent plus le jeu et refusent de faire une troisième dose de la-dite substance ?
Vous vouliez nous emmerder ?
Sachez, Monsieur le Méprisant de la République que vous nous emmerdiez déjà en 2017.
Vous nous emmerdiez déjà avec votre tête de premier de la classe.
Vous nous emmerdiez parce qu’avec la gueule de Kennedy vous faisiez la politique de Thatcher.
Ça passait pour un certain nombre de gens...
Puis vint le « traversez la rue », les « fainéants » qui ne « sont rien ». Mépris, mépris, mépris. Ne connaissez-vous donc que ça ? Ne répondez pas.
Nous savons. Le mépris vous ne le connaissez que lorsqu’il faut l’appliquer sur le prolétariat et le petit peuple laborieux. Devant les grands patrons et la haute bourgeoisie vous baissez d’au minimum deux octaves et votre regard fait de même. Pathétique pantin que vous faites.
Jupiter bien perché souhaite donc nous emmerder. Nous en prenons acte. Maintenant c’est notre tour, le tour des masses populaires de vous emmerder.
Et nous vous emmerderons « jusqu’au fond des chiottes » comme dirait votre homologue slave.
Partout où vous irez, nous serons là. Nous vous suivrons et nous vous traquerons jusqu’à ce que vous exprimiez une once de regret pour chacune de vos insultes.
Les masses sont le bruit et la fureur, le tumulte et le fracas.
Bonne nuit Monsieur le Président. En espérant que ces dernières ne vous empêchent pas de dormir.